Al hotel Sofitel Diwan de Rabat, perteneciendo al grupo ACCOR, se lleva a una compañera de represalias contra las sindicalistas para haber atrevido a reclamar : la organización de las elecciones de los delegados del personal, la aplicación de las disposiciones legales relativas al trabajo de noche para las mujeres, la no discriminación en el trabajo, la protección de los obreros contra todos los abusos (sanciones arbitrarias, acoso de todas las clases…) y sobre todo el respeto del derecho sindical.
(traducción automática)
Marruecos/campaña antisyndicale al hotel Sofitel Diwan en Rabat
En Marruecos se fomentan las inversiones extranjeras en el sector turístico, en detrimento de los derechos humanos y de los trabajadores en particular. Así pues, no se respeta el mínimo de los derechos garantizado por el código del trabajo. La complicidad del Gobierno y la justicia de clase con el patronato, no debe ya probarse.
Ante la intransigencia de la dirección del hotel apoyada por el grupo ACCOR, el mutismo de la inspección del trabajo y la connivencia de las autoridades locales, el personal pasó a la acción declarando el día del 18 de abril de 2006, día de protesta : puerto de brazalete, paro del trabajo y SIT-EN delante del hotel durante una hora. Una acción conseguida, a pesar de las presiones y amenazas contra los miembros de la oficina sindical. Las militantes y los militantes sindicalistas de los otros hoteles afiliados a la Unión Marroquí del Trabajo expresaron por su presencia, su solidaridad con los obreros de Sofitel Diwan….
A esta acción legítima, la DG del hotel, Enrique Martinete, respondió por una serie de medidas antisyndicales. Es un clima de terror que reina al hotel :
Por su complicidad con el patronato de la hostelería, el Gobierno marroquí que se basa en 10 millones de turistas para 2010, quiere tranquilizar a las empresas transnacionales, que no tienen que preocuparse para sus inversiones y que ni la legislación local ni las normas internacionales del trabajo vendrían a molestarlos en la explotación de los obreros y la violación de sus derechos legales.
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Maroc / campagne antisyndicale à l’hôtel Sofitel Diwan à Rabat
Au Maroc on encourage les investissements étrangers dans le secteur touristique, au détriment des droits de l’homme et des travailleurs en particulier. Ainsi, le minimum des droits garanti par le code du travail n’est pas respecté. La complicité du gouvernement et de la justice de classe avec le patronat, n’est plus à prouver.
A l’hôtel Sofitel Diwan de Rabat, appartenant au groupe ACCOR, on mène une compagne de représailles contre les syndicalistes pour avoir osé réclamer : l’organisation des élections des délégués du personnel, l’application des dispositions légales concernant le travail de nuit pour les femmes, la non discrimination au travail, la protection des ouvriers contre tous les abus (sanctions arbitraires, harcèlement de tous genres, …) et surtout le respect du droit syndical. Devant l’intransigeance de la direction de l’hôtel appuyée par le groupe ACCOR, le mutisme de l’inspection du travail et la connivence des autorités locales, le personnel est passé à l’action en déclarant la journée du 18 Avril 2006, journée de protestation : port de brassard, arrêt du travail et sit-in devant l’hôtel pendant une heure. Une action réussie, malgré les pressions et menaces contre les membres du bureau syndical. Les militantes et les militants syndicalistes des autres hôtels affiliés à l’Union Marocaine du Travail ont exprimé par leur présence, leur solidarité avec les ouvriers de Sofitel Diwan ….
A cette action légitime, le DG de l’hôtel, Henry Martinet, a répondu par une série de mesures antisyndicales. C’est un climat de terreur qui règne à l’hôtel :
Par sa complicité avec le patronat de l’hôtellerie, le gouvernement marocain qui table sur 10 millions de touristes à l’horizon 2010, veut rassurer les firmes transnationales, qu’elles n’ont pas à s’inquiéter pour leurs investissements et que ni la législation locale ni les normes internationales du travail ne viendraient les déranger dans l’exploitation des ouvriers et la violation de leurs droits légaux.
Par : rr.ii.