La CNT-FTE se félicite de la mobilisation du 16 mars, avec 500 000 personnes dans les rues de France, les étudiants ainsi que les travailleurs en grève démontrent que la mobilisation contre le CPEs’amplifie.
Face à ça le gouvernement choisit une nouvelle fois la matraque en multipliant les provocations dans les villes mobilisées, c’est le cas à Rennes, Paris ou encore Lyon où les déploiements policiers n’avaient d’autre but que d’affirmer la fermeté d’un gouvernement qui cherchent à compenser sa faiblesse par le coup de force. C’est dans la même logique que des officines de droite (syndicats étudiants de droite, groupuscule d’extrême droite …) interviennent plus ou moins violement dans les unviersités mobilisées.
Face à ça le gouvernement choisit une nouvelle fois la matraque en multipliant les provocations dans les villes mobilisées, c’est le cas à Rennes, Paris ou encore Lyon où les déploiements policiers n’avaient d’autre but que d’affirmer la fermeté d’un gouvernement qui cherchent à compenser sa faiblesse par le coup de force. C’est dans la même logique que des officines de droite (syndicats étudiants de droite, groupuscule d’extrême droite …) interviennent plus ou moins violement dans les unviersités mobilisées.
Si ceci n’était pas suffisant, les syndicats de policiers déplorent que les autorités aient donné des consignes de souplesse. Sarkozy a réagi rapidement par une nouvelle provocation affirmant qu’il ne pouvait assurer qu’il n’y aurait pas de bavures policières aujourd’hui. Il est donc clair que le gouvernement joue la stratégie de la tension. Dans cette situation nous resterons forts, unis et déterminés à étendre notre action au delà du 18 mars. Le tout sécuritaire ne nous fera pas taire.
Le secrétariat fédéral.